Ben oui... (mercredi, 02 juillet 2008)

Le peuple serait ainsi immobilisé sous le poids d’une nourriture qui le rendrait gras, sa réflexion atrophiée par un gavage continu d’informations inutiles, de polémiques stériles qui le conduirait à la mort par malnutrition et intoxication crétine juste au sortir de sa vie productive.

Au quotidien, le combat permanent du « Club » était de taille : Annihiler chez les sujets toute trace de pensée autre que celle essentielle à la bonne continuité de cet état de fait.

Cela fonctionnait.
Extrait : Les jours et l'ennui de Seb Musset

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