Transportée. (dimanche, 04 octobre 2015)

Et si je n’avais rien perdu ?

Ni la langue des arbres

Ni le « sentiment océanique »

Ni l’indescriptible perceptibilité musicale

Ni la jouissance à écrire

Ni, ni, ni…

Juste là, tout se cacherait, derrière les yeux de ma fille.

 

Dieu ! Ce qui nous transporte !

 

mh,

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