Cela fait un certain temps que je n’avais pas eu le loisir de l’écouter s’exprimer sur ses sujets de prédilections. Je l’apercevais parfois dans des pubs pour des pâtes ou pour d'autres denrées alimentaires produits par la grande distribution et m’étonnait un brin de ses choix publicitaires.

Sa participation à une émission de télévision m’a dernièrement laissée sans voix, il y dénigrait l’agriculture biologique, et lorsqu’une invitée l’interrogeait sur les OGM, il évoquait le danger de cette question !!!!Je m’étonne de retrouver ce même type de propos ; ce doute sur les bienfaits d’une alimentation bio dans un communiqué de presse de AFDN (l'Association Française des Diététiciens Nutritionnistes). En effet si manger bio n’est pas forcément synonyme de manger sain, on peut citer nombre d’études faisant état des bénéfices d’une alimentation bio sur la santé. Je me pose, moi aussi, une question (dangereuse ?), à qui profite le crime ?

le quasi-discrédit plutôt malvenu de ce mode de consommation ne permet que de faire planer à nouveau un doute sur la possible influence d'un lobbying bien placé de la part de l'ensemble des acteurs de la production dite « conventionnelle ».…

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Civile ? Ou juste une répétition générale ?
Je n’ai pas compris : l’avenue du Général-Leclerc était au trois-quarts rempli de véhicules anti- meute (sic) et véhicules policiers de tout acabit. Certes, je n’ai pas de preuve. J’ai voulu, avec mon appareil à 10 millions de pixels, immortaliser ces ébats policiers, vu que si c’est le début d’une guerre civile cette fois-ci, je ne veux pas louper l’histoire, mais j’ai failli.
Sommes donc descendues avec la ninette, sa mère bravache, l’appareil-photo photo à 10 millions de pixels en bandoulière. Des tas de tas de sergents Garçias tout bleus avec des casques presque-ils étaient à pointe, harnachés comme se préparant à un tournoi pour l’amour de Guenièvre (euh bon problème de concordance historique mais vous avez compris) déboulèrent dans mon champ de vision et effacèrent de mon esprit toute velléités photographique. La ninette en rajouta encore : « Maman ils me font peur les bleus… «

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Si vous me lisez depuis longtemps, vous savez que je n’aime pas le travail.
Vous savez que je n’aime pas « l’idée de travail », la valorisation du travail et la condamnation du « non-travail ».
Cette expression de « monde du travail » même me hérisse. L’idée de travail et de mérite me fatigue mais alors a un point !
À la limite activités. J’exerce une activité qui me permet de manger. Je l’exécute le mieux possible par respect pour moi, et parce que je me suis engagée.

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Tandis que le « c et t » gagne son pain à la sueur de son front, j’ai invité Jorgue à un déjeuner des plus frugal : Les restes du bourguignon d’hier soir, un roquefort à tomber et du pain fait de mes blanches mains, vaguement aidée pour le pétrissage, par la machine à pain.
- On se voit en cachette ?
- Non, je n’ai pas dis que tu venais c’est tout.
- Il est bizarre ton mec.
- … Paraît qu’on a les hommes qu’on mérite.
J’enlève le couvercle de la cocotte en fonte. Le fumet du bourguignon qui a cuit tout doucement trois heures, envahit la pièce.
- Je crois qu’on va se régaler, dit Jorgue.
- Merci. Et toi tes femmes ?
- Quoi mes femmes, je suis amoureux depuis 4 ans ? Tu as oublié ?
- Non.
J’ai servi Jorgue. J’ai installé les assiettes sur la table basse du salon. J’ai l’impression de pique-niquer en douce. Ça m’agace.
- C’est bon mh,
- C’est drôle de se revoir après tant de temps. Tu as un peu grossi.
- Eh ! Toi aussi.
- Oui mais toi, ça te va bien.
Jorgue hausse les épaules.
- Je vais vivre avec elle.
- Il t’a fallu trois ans pour te décider ?
- Pas moi mh, elle. Il lui a fallu trois ans pour se décider.
- …
- C’est bizarre non ?

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Une dose d’influenzinum 15 ch hier midi.
Une infusion de thym dans le bain hier soir.
La ninette est partie guillerette à l’école, sous la neige.
Pourquoi toutes ses précautions ?

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