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Il ne faut pas, je ne devrais pas, c’est bien trop simple, c’est même probablement très bête mais après le décompte des morts du vendredi 13, j’ai osé penser « à qui profite donc le crime ? » La conjonction des évènements me hérisse le poil. Ces morts, cet état d’urgence, cette conférence mondiale sur le climat, celle que l’on dit de la dernière chance, celle où il faudra prendre des décisions, celle qui ne ravira aucun pays du premier cercle, celle que la société civile s’efforce depuis longtemps de préparer au mieux pour peser dans la balance, ces centaines d’associations dans le coup. Ces manifestations annulées. Arrête de penser, tu poses tout, tu ne retiens rien ; juste que le zèle à utiliser ces tristes évènements pour servir des desseins répressifs, finit par me sembler suspect. Je me souviens d’une mini manifs pour Julien Coupat, alors enfermé à la santé, la mini manif d’une petite centaine de personnes devant la santé et la « foule », je dis bien la « foule » de policiers « robocopés » sur l’avenue du général Leclerc dans le XIVe avec des « chars anti-émeute » des « canons à eau » sur une bonne moitié de l’avenue.
De qui ont-ils VRAIMENT le plus peur : Des terroristes de Daech ou des écolos des villes et des champs ?
Traitez-moi de paranoïaque, mais la peur n’est pas que de notre côté. Je maintiens que je n’aime pas la concordance des faits.
Bientôt nous votons. Certains regrettent une France rassise et vont le dire.
"Après Three Mile island, Tchernobyl, Fukushima, le prochain désatre sera en France ou en Chine. Là aussi il y aura une tentative pour faire le silence autour de la catastrophe, en faisant taire en premier, la souffrance des irradiés." Extrait "Le dernier homme de Fukushima" Antonio Pagnotta.