J’étais, je suis, je serais une grande folle d’odeurs. Autant j’aurais pu tomber dans les bras d’un n’importe qui à l’odeur d’oranger, autant j’aurais pu me ruiner pour l’assurance de quelque mois de mon parfum préféré. Ne disons pas « j’aurais pu » mais je suis ; je suis effectivement tombée dans les bras d’un n’importe qui à l’odeur d’oranger, et je me suis effectivement ruinée pour une fantastique fiole à l’odeur magique.
Les odeurs me mènent par le bout du nez. C’est leur boulot d’odeurs en même temps : attirer, repousser.
Dans une boutique en ligne de qualité, News Parfums,  qui a su tirer tous les avantages du net pour proposer des coffrets superbes au prix le plus juste, j’ai retrouvé le coffret cadeau que nous offrions tous les ans à ma grand-mère et qui la ravissait à chaque fois. (Elle était, elle aussi, gourmande et très sensible aux odeurs). Il s’agit du coffret L'Air du Temps de Nina Ricci.
Eau de Toilette Vapo.100ml + Lait Corps + miniature

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Un blog sans commentaires c’est moinsss un blog ?
Je me pose la question parce que cette histoire commence à m’agacer et c’est Rouge-Kiwi qui a commencé.
MA-DAAAME, a supprimé les commentaires sur son blog. C’est extrêmement agaçant. Vous êtes obligé de lui répondre en faisant une note sur votre blog.
Comme vous savez qu’elle y vient de temps en autre sur votre blog, vous vous dites qu’elle lira bien, à un moment ou à un autre, le commentaire que vous n’avez pas pu faire dans son blog, et que vous faites par note interposée dans votre propre blog (oui, c’est compliqué). Du coup ces lecteurs à elle, ne verront pas les réponses à SES notes dans SON blog et mes lecteurs à moi se demanderont ce que vient fiche une réponse à une note d’un autre blog sous forme de note dans mon blog à moi.
[Soupir]

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Parfois, le matin en nous levant, nous oscillons entre déplaisir d’avoir quitté notre lit, et plaisir d’emmener notre progéniture à l’école. Savourer quelques heures de façon très politiquement incorrecte, leur absence, peut sembler, certains jours, une bénédiction.
En rentrant de l’école, presque sereins, nous mettons la radio, et nous entendons déjà DÉJÀ des publicités pour Noël.
Noël ne correspondant plus pour nous qu’à la plus stressante fête « obligatoire de l’année », nous avons simplement envie de trucider le Père Noël.
Quand un aimable sieur nous dit « qu’il y a moyen », et nous envoie le lien pour le faire nous n’hésitons pas une seconde.
Alors, nous nous retrouvons, dans une grande absence neuronale, en train de lancer mécaniquement des projectiles à un Père Noël virtuel (mais néanmoins rouge avec des bottes, une barbe et tout le bataclan).
Vu qu’on peut, à ce jeu de CDiscount gagner des cadeaux, nous n’hésitons pas une seconde (du pain et des jeux qu’ils disaient…).

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Ma fille est rentrée à l'école à 2 ans et demi.

Un peu plus elle: est née en décembre.

Elle adore l'école. Elle n'y a jamais pleuré. Elle avait, l'année dernière, une toute jeune instit qu'elle aimait beaucoup.

Elle est allée auparavant à mi-temps en crêche. Même si j'aimais beaucoup celle-ci, elle n'en revenait pas aussi... je ne trouve pas les mots si j'écris remplie ce ne serait pas juste, disons... j'ai l'impression qu'elle y avance qu'elle grandit, qu'elle comprend mieux les choses, les gens, le monde.

Je suis, aussi, formatrice pour adultes. Je suis admirative du travail fait par les instits. J'en serais incapable. Même en étant formée pour cela.

Les propos vulgaires que l'on entends TRES souvent de leur semaine de 4 jours et de leurs vacances à rallonge me semble le comble du comble de l'imbécilité.

Capter l'attention des adultes demandent parfois de l'énergie, mais attraper celle des enfants cela ressemble pour moi à de la haute voltige.

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