Je ne connais plus la date exacte de création de « la lettre de mh ».
Ce rien du tout de mots qui flotte sur l'Internet.
Je me souviens d'un groupe de stagiaires dans un stage que j'animais pour la société DEMOS aux alentours de 1999. Alors que nous ramions allégrement de pages en site web (pas d'adsl à l'époque), je me rendis compte que certaines avaient déjà créé leur site.
J'étais là, tentant d'apprendre quelque chose, à des qui en savaient parfois presque (le presque est important) plus que moi. Le cours suivant j'avais créé mon premier site.
blog
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La lettre de mh,: histoire (si si !) et publicité.
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Interrogations existentielles ou, le réveil de l’artiiiiiissssste.
Faisant suite à mes interrogations existentielles sur MOUAA et l’artiste qui y sommeille (vous suivez où il sommeille l’artiste ?); j’ai trouvé le dessin de Vidberg très juste.
Et donc le voili, avec l’autorisation de l’auteur, cela va sans dire.
mh, la pub, l’écriture et l’artiste qui sommeille quelque part. -
Du discutable intérêt des commentaires.
Un blog sans commentaires c’est moinsss un blog ?
Je me pose la question parce que cette histoire commence à m’agacer et c’est Rouge-Kiwi qui a commencé.
MA-DAAAME, a supprimé les commentaires sur son blog. C’est extrêmement agaçant. Vous êtes obligé de lui répondre en faisant une note sur votre blog.
Comme vous savez qu’elle y vient de temps en autre sur votre blog, vous vous dites qu’elle lira bien, à un moment ou à un autre, le commentaire que vous n’avez pas pu faire dans son blog, et que vous faites par note interposée dans votre propre blog (oui, c’est compliqué). Du coup ces lecteurs à elle, ne verront pas les réponses à SES notes dans SON blog et mes lecteurs à moi se demanderont ce que vient fiche une réponse à une note d’un autre blog sous forme de note dans mon blog à moi.
[Soupir] -
Bloggo, le gros ours.
Le risque, c’est le remplissage. C’est tomber dans les griffes de Bloggo, le gros ours : j’épate la galerie, je dégaine les textes à la douzaine, je fais acte de présence, je consulte les statistiques plusieurs fois par jour, je me mesure à l’aune de ma popularité.
Bloggo et moi nous tentons un pacte : Je ne consulte plus les statistiques, je ne me désole pas de l’absence de commentaires. J’écris au monde à eux, à moi, à rien peut-être. Je délie mes mots. Je les lâche un peu qu’ils prennent l’air. Je tâche de me dire quelque chose. J’essaie d’un peu tout comprendre.
Il y a le malaise dangereux de livrer sa vérité et savoir qu’elle sera lue.
Bloggo serait aussi une autruche.
mh,