J’écrirais pas trop propre parfois ?
Je relis mon histoire de pieds: c’est l’impression que j’ai. Envie de saloper tout ça. Tiens un mot comme saloper, plutôt Rougekiwi qui le dirait.
RK, qui déballe. *
Le souci avec le déballage ? Les limites, peut-être.
Dans une histoire, on n’en met pas… C’est ça la ruse. On se sent moins (j’avais écris MOI !) dépossédée. En plus on créait un « objet ».
Mais, c’est peut-être moi : « me sentir dépossédée ».
Une histoire aussi, une vraie. Une où on y va vraiment, c’est quand même un truc de fou. Un truc de folle givrée collée au plafond. Un bordel de soi ou on ne sait plus qui est « je ».
Un machin plein de mots incapables d’être le réel, écrit par une qui un jour a aussi entendu causer les arbres.
Tout ce qui est écrit « c’est des blagues » de toute façon comme dirait la louloutte.
Vaste vaste blague.
Que des histoires...
mh, (et celui là de texte, est-ce qu'il a pas un peu plus l'air écrit avec les pieds ?)