Satanée dame Elisabeth, elle m’a eu !
Je prenais de haut son livre : « Mes secrets d’écrivain ». Je l’ai commençé du bout des lèvres (si j’ose dire) je garde une vague répulsion à l’idée que l’on puisse apprendre à raconter des histoires. Je l’ai toujours. Je suis épatée par sa manière de faire. Sa force de travail. Sa technique pourtant, me fait peur. J’ai déjà tenté les fiches, les plans, les découpages en séquences, mais si une histoire ne me surprend pas, n’éveille pas ma curiosité si les personnages ne me tiennent pas par la main pour m’amener où ils veulent, je perds toute envie de les découvrir. Je reviens donc sur une note précédente où je doutais de l’intérêt d’un tel livre. C’est vrai : je ne suis pas follement enthousiaste, mais c’est instructif. Elle parle très bien de l’écriture, de la construction d’une histoire.
À chacun sa manière de voir et d’écrire, à chacun ses méthodes et ses béquilles pour avancer. Mais comme dit la dame, le meilleur moyen d’avancer c’est la « colle au cul » (Je cite là hein !) la recette magique !
Vous pouvez toujours me parler des vôtres. En ce moment moi c’est, la c… au c… précédemment citées, une enfant à l’école et Breathe dans les oreilles !
Bon courage aux écrivants de tous poils !
Ps : je m’attaque à : « Comment écrire ses mémoires » ça à l’air nettement moins emballant mais je vous l’ai dis: je bosse !
niarf !
mh,
Commentaires
J'ai hésité à l'acheter.
Comme toi, j'aime que mes personnages me guident.
Mais force m'est d'admettre que je ne finis par mes livres...
Force aussi m'est d'admettre que c'est une part obscure de moi que je vais découvrir chaque fois.. un rêve, quelque chose de caché en moi et qui se dévoile parfois... et donc je n'écris pas un livre, je me raconte ma vie en un sens...
Pourtant j'aimerais écrire une histoire qui dise ce que je veux dire..
J'ai finis la plupart de mes "livres" 3 grosso modo sur 4 commencés. Mais je n'ai pas l'impression qu'ils soient bien au point. Mis à part le dernier qui tient mieux debout.
Après tout personne n'oblige personne à écrire, ou à finir.
On fait c'qu'on peut!
Bon courage !