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banquiers

  • L’empathie : à l’envers, à l’endroit… dans tous les sens.

    garden_AR0003.JPGJe pensais un truc : ils sont tous là à dire… eux : les intellos, les paysans, les ouvriers, que les politiques les conseilleurs des politiques, les financiers, les banquiers, les femmes et les enfants d’iceux, ont perdu le contact avec la… avec la réalité des français, mais… mais, vous rendez-vous compte de notre manière de les traiter ?
    Vous avez vu comment on parle de Sarkosy, MAM et consort, vous ne pensez que c’est NOUS qui avons perdu le contact avec tous ceux-là que je viens de citer ?
    M’enfin, petit déjeuner avec Sarkosy et Carla, partir au Mexique avec eux, se faire inviter par Baudis à l’IMA, causer avec des patrons séquestrés, être proche d’eux enfin, comprendre leurs difficultés, se mettre un peu à leur place !!!
    Bref, vous VOUS éloignez d’eux, et VOUS ne les comprenez plus…
    C’est grave !
    En avez-vous au moins conscience ?

    mh, empathique.

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  • ¡Que se vayan todos!

    cacerolazo-soja.jpgOn prépare les casseroles ????

    Je cite:

    Le monde ne se soulève pas seulement contre les élites qui gouvernent mais aussi contre le modèle du capitalisme dérégulé dans son ensemble

    En regardant les Islandais taper sur des pots et des casseroles jusqu’à ce que leur gouvernement tombe, je me suis souvenue d’un slogan populaire des cercles anticapitalistes de 2002 : « Vous êtes Enron. Nous sommes l’Argentine. »

    Son message était assez simple. Vous – les politiques et les PDG qui vous pressez aux forums économiques – êtes les cadres impitoyables et les escrocs d’Enron (bien sûr, nous n’en connaissions pas la moitié). Nous – la populace – sommes comme le peuple argentin, lequel, au milieu d’une crise économique effroyablement comparable à la nôtre, est descendu dans la rue en frappant sur des pots et des casseroles. Ils scandaient : « ¡Que se vayan todos! » [Qu’ils s’en aillent tous] – et ils ont forcé quatre présidents successifs à partir en moins de trois semaines. Ce qui rend unique le soulèvement argentin de 2001-2002 est qu’il n’était pas dirigé contre un parti politique en particulier ou même contre la corruption en général. Sa cible était le modèle économique dominant : ce fut la première révolte nationale contre le capitalisme contemporain dérégulé.

    La suite là.

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