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Juillet, en résumé.

Résumé du mois de juillet de mon modeste point de vue : travail, chaleur lecture, et j’oubliais, couture.  Il serait temps que j’oublie la couture, son idée même : la plupart du temps, le résultat que j’obtiens après beaucoup d’efforts, me vexe.

Concernant la lecture, je me suis récemment régalée d’un bon polar avec : des Landes, des baïnes, du Pays basque et de l’Adour dedans. Une histoire de papi bon pied bon œil, qui pensait vivre sa retraite de tueur professionnel plutôt pénardement dans les Landes… En tout les cas, il me fait rire et un polar drôle qui me plaît c’est assez rare pour le souligner…

Du son sur les murs de Frantz Delplanque

Autre lecture ; un récit qui se lit comme un polar et nous éclaire un peu sur le monde dans lequel nous nous laissons vivre, il s’agit de « Tarnac Magasin Général » de David Dufresne ; je ne l’ai pas encore lâché, il est là, exactement sous mon coude. Et j’y retourne dès que  possible.

Cette lecture me fait penser à une toute petite manifestation devant la prison de la santé, autour de Julien Coupa ou de son père. Cette poignée de manifestants devant la santé et une armada invraisemblable de policiers et de matériel anti-emeute sur l'avenue du général leclerc. Je n'en avais jamais vu d'aussi importante. ERt ça frisait le ridicule vu le peu de personnes qui manifestaient, de quoi avait-il donc peur. Ou, à quoi "jouent-ils". Je dois avoir des photos quelque part.

Bonne lecture à vous aussi et bon été !

mh,

Tarnac dans la lettre de mh

et ici:

http://www.lalettredemh.com/archive/2008/11/21/l-intox-de-tarnac.html

http://www.lalettredemh.com/archive/2008/11/12/seb-musset-dans-la-catenaire-de-la-terreur.html

http://magasin-general.fr/chroniques-critiques.html

Catégories : Devant mon thé, 1 commentaire Imprimer Pin it! Lien permanent

Commentaires

  • Je sens chez moi comme un vieillissement de saison (l'été). Au fur et à mesure que l'on s'use, le temps passe plus vite, les émotions s'émoussent à la pierre dure du vécu. Il faut chercher d'autres contentements, comme disait Krisnamurti. J'opte pour le désert, Mon désert. Quelque part entre les barbelés égyptiens et ceux de Jordanie, là où l'œil de la terre regarde le firmament... Tu vois bien que je deviens vieux.

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