Dans une effervescence joyeuse, un peu hagarde, je participe aux joyeusetés de la rentrée de ma fille quand tout à coup, après une brève réunion, me tombe sur le poil la problématique de la harpe.
1 comment la payer ?
2 comment la porter ?
Consciente tout à coup que si ma chère enfant, inscrite de haute lutte au conservatoire du quartier, avait choisi une modeste flute, une guitare ou bien, même un piano, j’aurais passé une meilleure nuit.
Ma non, MA fille avait choisi la hhhharpe.
C’est tout de même moins commun.