J’ai ramené du tilleul, des cerises, des groseilles, des espoirs de confitures, de chez les grands parents ou j’ai laissé la ninette.
Vivant à Paris depuis 20 ans, j’oublie l’abondance de l’été. Les conserves de haricots verts, de coulis de tomates, les ramassages divers et variés.
C’est ce qui m’a frappé ce week-end : cette abondance à proximité.