Il y a des jours, je m'interroge: Vaut-il mieux confier radicalement ses déboires à dieu, dans un accès de désespoir incontrôlable ou, à une compagnie aérienne épargnée par la grève ?
Pourvue d'ailes aussi temps plein qu'il en faut, pour m'élever vers dieu ou, vers des îles provisoirement paradisiaques, je m'envolerai angéliquement, dans la nuée de plaisirs promis par les prospectus dont j'entreprends régulièrement la lecture.
Ceux de Dieu n'ayant pas été mis à jour depuis quelques siècles, il est sans doute moins hasardeux de faire confiance aux pages illustrés de l'agence de voyage en face à coté du marchand de fleurs, (je souligne à tout hasard)
palace
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Mh au paradis, ou Dieu doute.