Il y a des jours, je m'interroge: Vaut-il mieux confier radicalement ses déboires à dieu, dans un accès de désespoir incontrôlable ou, à une compagnie aérienne épargnée par la grève ?
Pourvue d'ailes aussi temps plein qu'il en faut, pour m'élever vers dieu ou, vers des îles provisoirement paradisiaques, je m'envolerai angéliquement, dans la nuée de plaisirs promis par les prospectus dont j'entreprends régulièrement la lecture.
Ceux de Dieu n'ayant pas été mis à jour depuis quelques siècles, il est sans doute moins hasardeux de faire confiance aux pages illustrés de l'agence de voyage en face à coté du marchand de fleurs, (je souligne à tout hasard)
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El pueblo unido... ne pas l'oublier...
12 de la noche, Puerta del Sol, primer aniversario
mh, qui cite
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Extrait: "L’Inspection du travail française tiers-mondisée"
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La France a rejoint le camp de ces démocraties fantoches où les services de l’Etat n’ont plus aucun pouvoir de par la faiblesse de leurs effectifs. Et ce n’est pas en diminuant le nombre d’inspecteurs et contrôleurs, mais plus malignement en supprimant les secrétariats des services, qu’ils ont neutralisé les seuls recours des salariés du secteur privé contre l’arbitraire et l’illégalité. Et ces 26 millions de travailleurs, ainsi pris en otage, n’ont hélas pas leur mot à dire sur les services qu’ils veulent se voir apporté par l’Etat...
Bruno LABATUT-COUAIRON
Inspecteur du travail, Président du syndicat CFTC du Ministère du travailPour lire l'article intégralement.
mh, qui ne fait que citer.