Et si je n’avais rien perdu ?
Ni la langue des arbres
Ni le « sentiment océanique »
Ni l’indescriptible perceptibilité musicale
Ni la jouissance à écrire
Ni, ni, ni…
Juste là, tout se cacherait, derrière les yeux de ma fille.
Dieu ! Ce qui nous transporte !
mh,