Tout a commencé lorsque j'ai voulu mettre de l'ordre. Une belle initiative de jours d'été n'est-il pas ?
Il fallait que je gère mes "tas", de papiers, de documents divers et variés, avec la même conviction que j'enseignais aux autres à les ordonner.
Je me suis assise, j'ai regardé autour de moi quand une évidence soudaine m'a frappée: Pas de place.
Non que je vive dans un bouiboui infâme, mais chaque objet, chaque meuble chaque livre sont calé pour rendre la vie agréable en cet endroit à une seule et unique personne et peut-être deux occasionnellement.
Comme j'avais l'humeur badine, j'ai mentalement noté:
que je vivais dans un endroit ou j'avais la place pour vivre seule ou très petitement accompagnée.
que la majeure partie de mon espace était, certes joliment, mais grandement occupé par des livres
qu'à étendre le sens du mot "place" dans toutes ses dimensions, je comprenais mieux et avec une stupéfaction grandissante les quelques moteurs principaux de la vie.
J'allais sans doute trop vite en besogne, mais j'avais l'impression que, comme à la fin d'une histoire, une grande partie des "fils" se rejoignaient en une logique imparable.
toma la calle
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mh, remise à sa place... (C'est d'actualité non ?)
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Plaza Catalunya ! Ce matin.
Autre acticle: "les indignés innondent la place, la police se retire."
mh, qui montre.