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covoiturage

  • Non rien de rien NON je ne prévoirais RIEN !

    Je n’aime pas prévoir. Il y a dans la prévision quelque chose de « fini » qui m’angoisse. J’enrichirais sans doute un psy, s’il en était encore question, mais pour le moment je désespère certains de mes proches qui ne savent plus à quelles dates se vouer et qui se risque parfois à me traiter d’inorganisée chronique.

    Bien sûr, c’est faux ; quand je le veux, et même à la dernière minute, je suis la reine de l’organisation. Si si ! Mais que l’on ne me demande rien à l’avance, je ne saurais répondre que : « oui sans doute peut-être, je ne sais pas.. ». Et si par hasard je lâche enfin : « l’année prochaine au mois de juin j’ai réservé une semaine de vacances avec une roulotte et un cheval » sachez que : soit j’ai menti, soit je suis sure que, à cette époque de l’année, le « roulottier » aura fermé boutique pour dépenser ses économies à la Barbade.

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  • Partageons ?

    Vu que je n’ai pas de voiture, je ne suis pas la plus mal placée pour parler du covoiturage ?

    Vu que j’habite à Paris, j’utilise mes pieds et les transports en commun, pour me déplacer.

    Je n’ai pas de voiture, pas non plus le permis de les conduire.

    Je me trouve donc bien dépourvue hors des villes.

    Je pourrais dresser une liste des conducteurs qui, au cours des années, m’ont déplacée gracieusement d’un lieu à l’autre. Je pourrais aussi dresser la liste de ceux qui l’ont fait avec un rien de mauvaise… grâce.

    Un jour, il y a une quinzaine d’années, j’ai dit en plaisantant à mes neveux qu’ils auraient sans doute un véhicule et les moyens de le conduire avant moi, aujourd’hui, ils conduisent avec un permis, et je me laisse conduire sans, donc.

    Si j’étais mauvaise, j’ajouterais que vu leur salaire ou leur mensualité d’étudiant, ils ne sont pas prêts de se payer le carrosse de leur rêve. Je fais sans doute fausse route, ce n’est plus de ces rêves qu’ils font, ils adoptent sans traumatisme, le covoiturage pour se déplacer d’un bout de la France à l’autre ou pour des parcours plus courts. En tante soucieuse, je leur conseillerais de choisir de préférence une femme conductrice, sachant que, statistiquement parlant, elles ont moins d’accidents que les hommes ! 

    C’est effrayant comme le temps file vite ; dans mon étudiant temps, je ne pensais même pas à cette solution pour me véhiculer à moindre coût. Si ce système existait, il était plus marginal, et beaucoup moins rassurant.

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