Après les paniques diverses déversées dans les “actualités”, les Pyrénées me semblent, un refuge acceptable.
Là où le “C et T” y voit un moyen de “poser 2 kilos de son sans emmerder personne ” (*Voir ci-dessous), ce qui aurait l’avantage d’éloigner les importuns, j’en envisage le calme, du coup par intermittence.
La proximité d’un entourage bienveillant et un air qui ne me tire pas des larmes dès les beaux jours (à Paris, je pleure beaucoup) pourrait, aussi faire pencher la balance vers cette reconquête de mon sud-ouest.
Pourtant, malgré la foule, la chaleur, les menaces réelles ou statistiquement négligeables, redescendre vers les montagnes n’est pas si simple.
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Parfois s'enfuir - Journal Macronique