Après les paniques diverses déversées dans les “actualités”, les Pyrénées me semblent, un refuge acceptable.
Là où le “C et T” y voit un moyen de “poser 2 kilos de son sans emmerder personne ” (*Voir ci-dessous), ce qui aurait l’avantage d’éloigner les importuns, j’en envisage le calme, du coup par intermittence.
La proximité d’un entourage bienveillant et un air qui ne me tire pas des larmes dès les beaux jours (à Paris, je pleure beaucoup) pourrait, aussi faire pencher la balance vers cette reconquête de mon sud-ouest.
Pourtant, malgré la foule, la chaleur, les menaces réelles ou statistiquement négligeables, redescendre vers les montagnes n’est pas si simple.
pyrénées
-
Parfois s'enfuir - Journal Macronique
-
Revenues
Nous voilà revenues de vacances avec la Ninette. Le temps va vite.
Paris est comme un vieux bouledogue ; parfois il vous attrape à la gorge et ne vous lâche plus.
Pourtant j'aimerais bien.
Dans mes Hautes-Pyrénées natales, j'ai croisé : 2 chevaux gentils, Perle et Ganchero, un vélo vert (ceux qui savent compatiront), une sœur amoureuse, une sorte de chose gratinée originaire d'Albi qui m'a fait aimer le chou, la vieille machine à coudre de ma mère qui me fait aimer les vieilles machines à coudre, un vol de grues bruyantes remontant vers le nord (juste avant la neige).