Je pensais un truc : ils sont tous là à dire… eux : les intellos, les paysans, les ouvriers, que les politiques les conseilleurs des politiques, les financiers, les banquiers, les femmes et les enfants d’iceux, ont perdu le contact avec la… avec la réalité des français, mais… mais, vous rendez-vous compte de notre manière de les traiter ?
Vous avez vu comment on parle de Sarkosy, MAM et consort, vous ne pensez que c’est NOUS qui avons perdu le contact avec tous ceux-là que je viens de citer ?
M’enfin, petit déjeuner avec Sarkosy et Carla, partir au Mexique avec eux, se faire inviter par Baudis à l’IMA, causer avec des patrons séquestrés, être proche d’eux enfin, comprendre leurs difficultés, se mettre un peu à leur place !!!
Bref, vous VOUS éloignez d’eux, et VOUS ne les comprenez plus…
C’est grave !
En avez-vous au moins conscience ?
mh, empathique.
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Le mépris des femmes, des Africaines, du boubou, et des femmes de ménages.
Juste parce que certains se croient malins de comparer Ségolène en boubou à une femme de ménage… oui oui, Y’en a qui ose.
Vous trouverez un extrait du discours de madame à Dakar, ici-bas. Le reste chez Rouge-Kiwi.
Cette Royale remonte dans mon estime vitesse grand V à l’allure où elle emmerde la bande de despotes incompétents, que « nous » avons élus et que je n’oserais comparer à des détritus encombrants. (sic).
Néanmoins, femmes de ménages à vos balais, y’a du boulot !
mh, énervéeL’extrait : le reste chez Rouge
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La ville : du gris au vert !
Alors que durant des années, nous nous sommes évertués tous autant que nous sommes et par commodité à plaquer du gris sur du vert. Le projet des végétaliseurs va dans un tout autre sens, il nous propose, grosso modo, de nous aider à remettre du vert sur du gris.En effet, loin de la nature, nous l’oublions, nous sommes comme une génération spontanée du béton. Nous avons perdu le sens commun concernant la plupart des signes que nous envoie notre bonne vieille terre. Comment le pourrions nous ? Au milieu de la ville, nous avons accès au mieux à un square et quelques arbres subsistants tant bien que mal dans un trou du trottoir au pire à des géraniums sur une fenêtre.
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Des policiers, des pierres, des journalistes des manifestants…
Des policiers qui jettent des pierres du haut d’un talus sur des manifestants…
C’est quoi ce bordel ? Faut changer de métier les garçons là !
Un commissaire qui empêche un journaliste de filmer un contrôle d’identité bien tranquille, en, prétextant que le dit journaliste n’a pas le badge de l’Otan… Aller jusqu’à la fin du film il donne son matricule.
Euh, je dirais à la ministre en charge de ces : « Représentant de l’ordre » de veiller à tenir ses troupes. Vu le récent rapport d’Amnesty international , je pense qu’il serait judicieux qu’elle en fasse une priorité des priorités.
Bon, petite fille d’anarchiste et, AUSSI, petite fille de gendarme, j’ai un tempérament à respecter les règles… si je ne me bouge pas suffisamment pour les combattre. Donc, un uniforme, j’ai rien contre puisque je ne fais rien pour vivre en anarchie.
Non non...
Mais les règles doivent être respectées par tous. D’autant plus par les représentant de « l’autorité ». (Oui je suis basique je sais)
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Etre le souffle, être l'eau
Etre le souffle, être l'eau
Suivre le sillage profond.
Suivre la blessure amère et découvrir ce qu'elle recèle.
Être dans l'infini de sa complexité et se perdre
Ne pas savoir où combattre son mal et chercher pourtant
chercher.
Observer.
Écrire pour essayer de retrouverPour être nue.
Nue jusqu'à ma merveille et ma désolation.
Nue jusque là
Qui pourrait me comprendre sans me lire ?
Mais comment me deviner là où je suis multiple, où l'univers s'étale comme je le reçois
Où je suis profondément, et où profondément je ne suis pas.