Bon alors maintenant que je fais mes yaourts, mon pain, de la couture, un poil de ménage un dixième de repassage, la cuisine avec des produits frais, de la soupe, des petits gâteaux, parfois de la confiture, pousser des légumes sur mon toit :
J'AI le droit de garder mon lave-vaisselle ?
Je veux bien décroître. Pas m'offrir les derniers tintouins à la mode. Faire de la récup à tout va, gagner moins et dépenser de même (on peut) ? Mais y'aurait pas moyen -s'il n'y a plus de pétrole, d'électricité, de pas grand-chose- y'aurais pas un tout petit peu moyen de construire... comme des pédales... pour que le lave-vaisselle fonctionne ?
Même au cas où tout devient pire ?
Ah ?
On pourrait manger avec les doigts ?
Dans des feuilles ????
…
…
...
Mais... QUI va laver les cocottes ???
mh, potagère, ménagère etc.
L'image est celle d'un lave-linge mais c'est pour donner une idée à ceux qui veulent creuser le sujet...
Vu que dehors c’est la crise, et que menace la GRIIIIIIPPPPEEEE, j’ai décidé de tenter quelques expériences ultimes qui pourraient me conserver le teint frais et l’humeur légère.
Deuxième jour d’école pour la ninette.
Alors maintenant il y a « Home ».
Dans une France de boutiquiers, il est compréhensible que l’idée de décroissance demeure une idée. C’est à cela que je songeais, à l’instant, sous ma douche, en faisant couler trop d’eau. Je venais de me demander pourquoi aucun homme politique d’envergure ne prenait cette idée à bras le corps. Parler de partage plutôt que de consommation ou de pouvoir d’achat à tous les étages. Comment cela se faisait-il que personne ne se saisisse de ce flamboyant « concept » ?