Seb Musset parle dans son blog du projet de loi sur l’égalité homme / femmes de Najat Vallaud-Belkacem.
Et c'est bien
Et c'est à lire ici: "De la difficulté à répartir les tâches et changer les couches".
mh,
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Seb Musset parle dans son blog du projet de loi sur l’égalité homme / femmes de Najat Vallaud-Belkacem.
Et c'est bien
Et c'est à lire ici: "De la difficulté à répartir les tâches et changer les couches".
mh,
Alors qu'un ami me souhaitait un mari avec une insistance trouble, je me suis soudain rendue compte que les seules personnes à m'avoir conseillée cette alternative comme remède à tous les maux, étaient des hommes, parfois mariés eux même, et croyant aux vertus du mariage avec la même ingénuité qu'une jeune fille pré-pubère du début du siècle.
Ma propre mère ne se risque plus à ce genre de recommandation, et bien que maire elle-même, elle a abandonné l'idée de me voir prononcer le oui fatidique sous ses augustes auspices.
Me souhaiter un mari, n'est-ce pas un peu restrictif tout de même ?
Non que l'exclusivité en ces domaines fût pour moi une tare. Mais un mari…
Je ne sais même pas ce que c'est qu'un mari !
Je l'avais imaginée là: http://www.lalettredemh.com/archive/2011/07/07/inventons-la-machine-a-menus.html et elle existe désormais ici: http://www.mangerbouger.fr/bien-manger/la-fabrique-a-menus.html !
Merci qui ? ;-)
mh,
J’ai lu quelques bons livres ces temps derniers : « La tristesse du samouraï » de Victor del Arbol, écrivain espagnol que je ne connaissais pas, « le fer rouge de la mémoire » de Semprun, un ouvrage historique sur Aliénor d’Aquitaine et… et… Je ne sais plus, j’ai oublié.
Hier soir, j’ai repris dans ma bibliothèque « un homme dans sa cuisine » de Julian Barnes en guise d’entracte, et, là, devant mon thé, je vais savourer le soleil (sisi) qui passe par mes fenêtres et mon livre…
mh, ben quoi ?
(Texte déjà publié qui date d'une dizaine d'années... depuis j'ai changé de maison, peut-être faudrait-il que j'en change encore...)
Ma maison est toute petite.
Et puis ce n'est pas vraiment une maison.
Quelqu'un en se moquant la traitée de soupente. Cela ne m'a pas fait plaisir.
Je suis perchée depuis tant d'années dans ce bout de Paris que je ne me rends pas bien compte.
Ma maison a l'air fragile d'une vieille dame en mauvaise santé. Je m'en aperçois depuis peu et cela m'attriste.
Bien que toute petite et malgré tous les travers que je lui vois, ma maison semble agréable aux visiteurs. J'ai souvent l'impression qu'ils voudraient y demeurer seuls. Habiter sous le bois de la mezzanine, lire dans les coussins, feuilleter les revues, respirer l'odeur des fleurs que des amis parfois m'envoient.
Dans ma maison, il y a une étagère de travers, croulante sous les livres les dossiers les papiers. Il y a un gros fauteuil confortable, que j'ai hissé en haut des six étages au prix de tant d'efforts, et d'un curieux courage sur moi-même à une époque où je n'en avais aucun, qui me le rende cher. Il y a un canapé tout mou, acheté à une voisine. Il y a une armoire sur le point d'exploser mais qui résiste à tout par, je ne sais quelle sorcellerie.
- Jorgue, et si je n’ai plus de travail ?
Jorgue a repris ses petites habitudes. Il gare son vélo dans l’entrée de l’immeuble où je vis aujourd'hui à quelques centaines de mètres du précédent.
Le C et T, ne veut pas m’avouer qu’il ne voit pas d’un très bon œil la réapparition de cette gravure de mode dans mon paysage, il râle :
- Tu lui diras qu’on ne doit rien mettre dans les parties communes de l’immeuble. Ni trottinette ni vélo, rien.
Bref. Je n’ai pas vérifié, mais je suis sûre que Jorgue l’a quand même garé en bas.
- Si tu n’as plus de travail ? Tu t’inscris aux Assedics enfin le nouveau nom que ça a maintenant.
- Le pôle emploi, je me suis renseignée. Mais s’il y a tellement de chômeurs qu’ils ne payent plus rien, ou bien, si l’argent ne valait plus rien, comment je ferais pour nourrir ma fille ?
- Je ne sais pas. Tu retournerais chez ta mère, ou chez celle du C et T
- Ah oui, c’est ça que tu penses toi aussi la campagne.
- Si c’est histoire de « nourrir » ta fille, il y a plus de tomates dans le jardin de ton père que dans le parc Montsouris.
- Oui mais le chauffage ? S’il n’y a plus de pétrole ?
- Tout en même temps ? Le chauffage, la nourriture ?
- Oui et aussi, comment je trouverais de la viande, des vêtements. Et si Internet ne fonctionnait plus !!!
Du balcon je vois les palmiers
Les sages arbres taillés
Les fleurs, les gens.
Après de longs crépitements
Tout à l'heure j'ai entendu
Les cuivres et les voix aiguës
Portées jusqu'à moi par le vent.
Il est un jardin de calme
À bruits d'eau et à bruits d'enfants
Où partout des reines muettes
Guettent et songent…
mh, Petite chose des cartons, jardin du Luxembourg, juillet 1989
Je mange du porc. Je sais que le porc cru, ce n'est pas bon. Chaque fois que je cuisine du porc, j’ai en tête une énorme voix qui clame : «ATTENTION TA VIANDE DOIT ËTRE BIEN CUITE ». Total, je sers aux membres de la maisonnée de la semelle de cochon, de la saucisse au charbon et tout un tas de joyeusetés noires du même acabit.
Si j’ai résolu mon problème avec le filet mignon (lait de coco, sauce soja, gingembre oignons, et zou dans la cocotte), je n’avais pas encore trouvé la manière adéquate de déguster de la BONNE saucisse.
J’avais beau accuser les bouchers de tous les maux, le problème venait de moi.
J’ai donc découvert par hasard, le truc qui me permet de déguster une bonne saucisse bien cuite, sans mauvaise conscience, (nonobstant le fait qu’il a fallu tuer un cochon pour cela).
https://www.lapetition.be/list_signs.php?petid=12654&page=7#signs
Je cite quelques commentaires sur la pétition: "non à la politique culturelle et néolibérale du gouvernement actuel""La mise en œuvre forcée de cette reforme est une aberration et une atteinte à la démocratie locale...""Pourquoi casser ce qui fonctionne? Seuls les fortunés pourront désormais faire de la musique merci la gauche! Merci pour la persécution méthodique des classes moyennes "
un autre: "Je suis très inquiète concernant ce projet de réforme. L'éducation musicale n'est pas une obligation. Elle est un choix des familles, relève d'un véritable engagement et exige un suivi important des enfants au contraire de ce que voudrait nous laisser croire ce projet d'ouverture de mon point de vue démagogique et à visée purement "occupationnelle". Oui à une sensibilisation des enfants à la musique mais dans de bonnes conditions, sans remettre en question l'intégralité d'un système peut-être fermé mais qui a fait ses preuves. L'ouverture au plus grand nombre doit-il pénaliser les élèves motivés ? Comment sélectionnerez vous les enfants qui pourront poursuivre la formation musicale au conservatoire? Ne vous souvenez-vous pas des effets dévastateurs de l'enseignement obligatoire de la flûte à bec à l'école? Quel bénéfice réel pour les enfants ? Ils sont encore une fois de plus les oubliés de cette réforme. "
mh, qui cite vite vite