Ce que j’ai fait, depuis le réveil par une douce caresse de l’enfant sur ma joue, jusqu’au moment où j’ai écris ces mots.
J’ai nourri l’enfant : 2 tartines de margarine végétale, 2 cookies sans lait ni œufs, j’ai proposé une banane, réponse négative de l’enfant. Ce n’était pas encore l’heure des zouzous donc elle m’a suivie dans mes différentes activités matinales jusqu’à l’heure des zouzous.
J’ai ouvert mon pc, malgré l’envie effrayante de me replonger dans les bras de morphée ; surtout pour confirmer une réservation SNCF avant trop tard.


Alors que je ne suis pas fervente de ce genre de manifestation, voilà que je tombe sur une m6cerie de dernière génération et que je m’extasie comme une folle sur une jeune femme qui chante. Tout mon trémoi en frissonne mon surmoi et même mes poils.
Des trucs des trucs et vous croyez que je les sors de mon chapeau ! Bon attendez je vais fouiller.
Déjà, j’ai du mal avec la conversion des millilitres en décilitres (je tente dans ma tête une comparaison avec un double décimètre, je m’explique : « bon alors sur ma règle il y a : 1) les millimètres, 2) les centimètres ensuite les décas, euh décimètres et après les mètres. DONC 500 ml ça fait 50 cl et 5 litres ! ? ? ? »). Maitenant j’ai appris qu’il fallait maitriser son algèbre pour cuire un rosbeef. Ce n'est pas Dieu possible ; qui aurait imaginé durant ma vie de célibataire trépidante (la vie, pas la célibataire) j’en serais, quelques années plus tard, à me noyer dans les litres et à faire de l’algèbre pour tenter de cuire le rosbif de la mort qui tue.
Ingrédients,
À la recherche d’une autre recette miracle qui permettrait à ma fille d’apprécier à leur juste valeur la saveur délicate des légumes, je tombe sur ce site :
J’en ai rêvé, mais personne PERSONNE ne l’a fait !